11 février 2009
Airport
Je me tiens tout contre la vitre
Mes yeux ne la traversent pas, ne la traversent pas
C’est comme si vous partiez
Au revoir, au revoir mon amour
Plus personne n’est là, vous ne me regarderez pas men aller
Tout ce que je se sais se dilue dans les brumes de la piste
Je ne sais pas où elle va, je ne veux pas, où elle va
Tout ce que je peux à présent est marcher seul
Répondant de mon corps aux ordres pour embarquer
Ce n’est pas comme si vous partiez
Mes regards se portent derrière
Avec la crainte de ne plus voir devant
C’est en somme bien plus facile, plus facile
que si vous partiez
Et pourtant
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