du jour, mais aux yeux de chacun le paternel |
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e *Pâris, *Hélène forcenée, de votre injuste |
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je tire mon malheur ! *Le *Choeur tel est le |
langage, digne de ta maison ! *Agamemnon un |
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effréné, l'appât de la richesse, souvent ent |
u que cette *Hélène, dans tes yeux prenant l' |
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, sût t'en frapper à son tour, et c'est votre |
énie ! Ma tendresse sans plus le cède à leur |
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. L'épouse-t-il bientôt ? *Agamemnon nous att |
le jour ; même il sut à la fin te gagner mon |
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. T'ai-je depuis ce temps donné sujet de plai |
oyen jugea de la plus belle, et toi, funeste |
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! C'est pour ma perte, hélas ! Qu'*Hélène fu |
la parure ou de la pâle mort ou du brillant |
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, violette d'azur, que tu plais à cette âme o |
la juste destinée abat à chaque coup gloire, |
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, amitiés. Moins doucement la feuille à la br |
vous aura meurtris et rouillés. Pour moi, l' |
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n'est plus cette source de larmes où je buva |
ts l'aile du nombre. Et moi, que l'amitié, l' |
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et la douceur, tout abandonne, je veux goûte |
nce, mes yeux, coureurs sans repos, mais mon |
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les devance et se mêle avec les flots. 5e LI |
que la joie abandonne, et, le coeur plein d' |
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, je prendrai dans mes mains au pied des peup |
uivi la guerre ! Mais que, surtout, du mal d' |
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son coeur n'en avait guère ! Coeur fol, coeu |
! Serment de femme, écueil au havre ! Gentil |
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, plus durement que tous gens d'armes, navre. |
ordaces et les flûtes, les flûtes, les pas d' |
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, les flûtes, vous les voulûtes hélas ! *Made |
ÉTREN. DOULCE, V J'ai tellement soif, ô mon |
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, de ta bouche que j'y boirais en baisers le |
lèvres pressées, vous êtes toutes douceurs, |
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, jusqu'à vos lèvres courroucées. Et, n'êtes- |
e deuxième plus durement que trait turquois, |
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, plaisant doux archer, blesse rustiques garç |
e ! " PÈLERIN PAS., JONCHÉE, CARTEL je dis à |
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, mon ennemi : toi qui oses, page menu, préte |
s belles, qui débonnaires me sont. Je dis à * |
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, mon ennemi : ne vois-tu point orgueil gorgi |
té ! à rompre lances, armure mal opportune, ( |
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me dit) je n'ai que faux-semblants, mais ce |
tte pour vous garder de mal empire, pennon d' |
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et gonfalon, je vous donnai ma chevelure cou |
cadence vive, telle de ce *Jaufred que fine |
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a point, vanter tes crêpes crins, couleur d' |
ienne, que tout forcené je devienne ! Ainsi, |
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dernière à mon coeur née, par bois touffus e |
er valeur et l'heur en vos lacs entrepris. D' |
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où n'est ni cautèle ni vice j'avais juré de |
a tige allongée des lys de la mer natale ! ô |
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, tu n'eusses souffert qu'un désir joyeux nou |
-nous du souci d'un jour *Théone, cédons à l' |
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, cédons à *Vénus *Cyprienne. Que le myrte à |
ront un miel français. |
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