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Corpus Delicti
13 février 2009

illi Grève générale mitée

du jour, mais aux yeux de chacun le paternel

e *Pâris, *Hélène forcenée, de votre injuste
je tire mon malheur ! *Le *Choeur tel est le
langage, digne de ta maison ! *Agamemnon un
effréné, l'appât de la richesse, souvent ent
u que cette *Hélène, dans tes yeux prenant l'
, sût t'en frapper à son tour, et c'est votre
énie ! Ma tendresse sans plus le cède à leur
. L'épouse-t-il bientôt ? *Agamemnon nous att
le jour ; même il sut à la fin te gagner mon
. T'ai-je depuis ce temps donné sujet de plai
oyen jugea de la plus belle, et toi, funeste
! C'est pour ma perte, hélas ! Qu'*Hélène fu
la parure ou de la pâle mort ou du brillant
, violette d'azur, que tu plais à cette âme o
la juste destinée abat à chaque coup gloire,
, amitiés. Moins doucement la feuille à la br
vous aura meurtris et rouillés. Pour moi, l'
n'est plus cette source de larmes où je buva
ts l'aile du nombre. Et moi, que l'amitié, l'
et la douceur, tout abandonne, je veux goûte
nce, mes yeux, coureurs sans repos, mais mon
les devance et se mêle avec les flots. 5e LI
que la joie abandonne, et, le coeur plein d'
, je prendrai dans mes mains au pied des peup
uivi la guerre ! Mais que, surtout, du mal d'
son coeur n'en avait guère ! Coeur fol, coeu
! Serment de femme, écueil au havre ! Gentil
, plus durement que tous gens d'armes, navre.
ordaces et les flûtes, les flûtes, les pas d'
, les flûtes, vous les voulûtes hélas ! *Made
ÉTREN. DOULCE, V J'ai tellement soif, ô mon
, de ta bouche que j'y boirais en baisers le
lèvres pressées, vous êtes toutes douceurs,
, jusqu'à vos lèvres courroucées. Et, n'êtes-
e deuxième plus durement que trait turquois,
, plaisant doux archer, blesse rustiques garç
e ! " PÈLERIN PAS., JONCHÉE, CARTEL je dis à
, mon ennemi : toi qui oses, page menu, préte
s belles, qui débonnaires me sont. Je dis à *
, mon ennemi : ne vois-tu point orgueil gorgi
té ! à rompre lances, armure mal opportune, (
me dit) je n'ai que faux-semblants, mais ce
tte pour vous garder de mal empire, pennon d'
et gonfalon, je vous donnai ma chevelure cou
cadence vive, telle de ce *Jaufred que fine
a point, vanter tes crêpes crins, couleur d'
ienne, que tout forcené je devienne ! Ainsi,
dernière à mon coeur née, par bois touffus e
er valeur et l'heur en vos lacs entrepris. D'
où n'est ni cautèle ni vice j'avais juré de
a tige allongée des lys de la mer natale ! ô
, tu n'eusses souffert qu'un désir joyeux nou
-nous du souci d'un jour *Théone, cédons à l'
, cédons à *Vénus *Cyprienne. Que le myrte à
ront un miel français. 

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