Olmert propose un retrait de 93% de Cisjordanie (le Figaro)

Je me demande s’il faut louer la nécessité ou le hasard.

Tous les deux font référence à la loi.

Pas celle, terrestre, qui organise la constitution intime de nos pots d’échappement ou le nombre de petits pois dans une boîte de conserve de disons

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(dieu, deviendrais-je métallifère ?), mais celle, plus universelle qui finit par guider le pas des esprits les plus rebelles (chuis zun berel’, agad’ ma decalco !). A supposer que certains esprits disposent d’une quelconque locomotion.

L’attirance en elle-même est une loi, le dégoût aussi, tout comme les zapetti (penne al vongole), le goût du rhum et la courbe de fréquence somatique des emporte serpillières.

Obéir devient alors un choix.

Sauf qu’il ne l’est pas. Et que je suis aussi loin de m’en plaindre que vous du pôle sud, mais je ne veux vexer personne.

Le hasard, la nécessité parlent de la même voix, indiquent la même voie (ça c’est pour faire remarquer que je suis pas trop mal en ortograf, même quand je me lâche), le hasard en devient une destinée, voire même une prédestination. Un préalable donc. La nécessité s’en empare à des degrés fort inattendus.

Tout se touche ainsi, pour la plus grande joie de tous les benoits, à défaut de contenter les démagogues quasi imberbes mais de tout poil; et dire que ce post ne devait pas devenir politique.. raté.